Winfa Dashari
Comme tous ceux qui me connaissent peuvent se douter qu'une journée dans mon monde n'est pas de tout repos pour les faibles gens, mais pour moi ça l'est. Tout dans mon monde est mal et n'importe quel élément est un enfer pour les victimes. Le quotidien ne change jamais ou s'il change c'est en pire.
Le matin, dans mon monde, j'ai la chance de pouvoir me réveiller dans mon lit avec un doux réveil-matin très spécial. Un de mes egnas m'emmène une victime pour la torturer dans ma chambre à l'heure de mon réveil. Oui, vous avez bien compris, ce sont les cris de ce pauvre être qui est mon doux réveil. Ah Ah Ah! Avouez que c'est le meilleur réveil qui soit! Habituellement, je ne dors pas, car je n'en ai guère besoin, mais je le fais uniquement pour la procuration de ce réveil macabre. Ensuite, je prends le temps de déjeuner et mes repas sont la plus plupart du temps les restes de mes victimes. Après cela, je vais faire ma promenade quotidienne dans mon monde pour voir et écouter le magnifique spectacle qu'est le chaos, le désordre, la torture et les scènes de meurtres. cette promenade me prend jusqu'à la fin de l'après-midi et je rentre par après dans ma maisonnette où je reçois la visite de plusieurs egnas qui m'amènent des innocents pour que je puisse moi-même les tuer, les dépecer et j'en passe. Je ne vais quand même pas raconter tous les détail, surtout parce que je déteste écrire.
En soirée, je prend toujours un bain de sang de mes victimes, je sais que cela fait vampire, mais je ne le fais pas parce que j'aime le sang, mais parce que j'aime baigner dans un liquide qui vient d'une personne morte! Il y a une nuance. Ensuite, j'ordonne à deux ou trois de mes egnas de me faire un bilan des morts et si je suis satisfaite ils restent en vie, si non je les élimine et lorsque j'en perds trop, j'embête alors mon cher grand frère de m.en créer d'autre. Ces journée finissent toujours de la même façon, comme elles ont commencé, mais à l'inverse. Je m'endors sous le divin son d'un cri.
Si je vous déconcerte, j'en suis désolée, mais c'est cela HEUREUSEMENT ma vie. Heureusement? Ah Ah! Ah que c'est ironique si on prend en compte toute la destruction!
